Tuesday, 12 October 2010

Devenez Fan de la bière Corona light sur Facebook et vous aurez votre photo à Times Square !


La nouvelle campagne de pub de la bière Corona light qui vise à faire du produit "la bière légère préférée des américains " mise beaucoup sur l'élément Facebook pour attirer les jeunes adultes qui sont leur principale cible.

L'originalité de la campagne est d'aller au delà du buzz online des campagnes Facebook, déjà devenu traditionnel et presque un exercice imposé, pour offrir à ses fans l'opportunité de voir leur photo sur les panneaux géants de Times Square du 8 novembre au 6 décembre. Tout ce que les utilisateurs de Facebook ont à faire est de devenir fan de la page et de télécharger une photo d'eux (au moins 500x500) pour accéder à la célébrité et figurer sur les billboards les plus célèbres du monde.

Pour ceux qui ne peuvent pas passer un mois à New York à guetter leur apparition et cherchent une gratification immédiate, les organisateurs ont tout prévu : il y aura des photos prises de l'autre coté de la place montrant à quoi ressemble votre (grosse) tête au dessus de la foule.

En bref, c'est une façon intelligente d'utiliser Facebook en alliant une récompense online (la photo que les fans feront circuler et qui sera accompagnée de messages publicitaires de la marque) et offline (avoir sa photo à Time Square), sans mentionner les milliers de fans qui seront exposés à la campagne en venant sur la page Facebook.

Le marketing mix avait déjà incorporé les média sociaux comme "must have" d'une campagne réussie mais l'exercice commençait déjà à devenir répétitif voir ennuyeux. Cet exemple montre que les publicitaires et marketeurs doivent continuer à innover pour créer des combinaisons offline/online inédites qui attirent le public et offrent une gratification, dans ce cas sociale, aux consommateurs en échange de leur attention.

Amazon réinvente l'achat impulsif...scannez un code-barres avec votre iPhone et hop, c'est commandé !


Au commencement, Amazon était le plus grand magasin de livres en ligne du monde... puis ils ont ajouté la musique, les films... et maintenant vous pouvez (quasiment) tout trouver sur Amazon, soit vendu directement par Amazon, soit sur leur "marketplace" c'est à dire vendu neuf ou d'occasion par un des vendeurs associés.
Ce canal leur permet de se cannibaliser - avec bénéfices : le client qui n'achète pas directement d'Amazon passe tout de même par leur plate-forme pour faire sa transaction. Pour les vendeurs c'est bien sur un moyen d'atteindre des acheteurs qui n'auraient jamais visité leur propre website, de bénéficier de la plate forme de gestion d'achat d'Amazon, du système d'évaluation des achats par les clients qui permet de se construire une réputation, etc.

Depuis plus d'une décennie, Amazon invente et ré-invente la vente à distance. Bien sur toutes leurs idées n'ont pas été des succès, je pense par exemple à leur tentative de se lancer dans la vente d'épiceries. Là leur logistique de dispatcher les commandes à différents fournisseurs s'est avérée incompatible avec l'achat d'un "panier de la ménagère". Qui veut recevoir chaque article livré séparement par chaque vendeur ? J'achète un "panier", pas un nombre distinct de produits.

Aujourd'hui, la dernière nouveauté d'Amazon est une application iPhone qui permet à l'utilisateur de scanner le code-barres d'un objet et d'accéder aux offres de ce produit sur Amazon et de le commander directement sur leur iPhone, immédiatement.

Ce n'est pas la première application à scanner un code-barres et offrir des infos sur le produit, mais Amazon porte le concept à un nouveau niveau en permettant la conversion immédiate de recherche d'information en achat. En effet, vous pouvez utiliser toutes informations enregistrées dans votre compte Amazon pour payer, vous faire livrer à l’adresse de votre choix, demander un emballage cadeau, etc.

Monday, 11 October 2010

Twitter écrase Facebook en termes de click-through rates



Quel est le moyen le plus efficace pour les marketeurs de diffuser leur message en ligne ? Facebook ? Twitter ? Blogs institutionnels ? Email ?

D'après un nouveau rapport de la boite de marketing SocialTwist, repris par Fast Company, les tendances du partage d'infos sur internet ont pris un virage serré vers les réseaux sociaux, même si les autres plate-formes ont encore une présence forte pour le bouche à oreille. SocialTwist a analysé plus d'un million de messages de referral envoyés en utilisant le widget Envoyez-à-un-ami de la société pour partager des sites à travers les média sociaux.

L'année dernière, les sites de réseau ont vu leur utilisation augmenter de 10% et une hausse de 16% de leurs taux de click-through. Les emails comptent toujours pour 55% des referrals.




Mais quand il s'agit des click-throughs, les sites de réseaux sociaux sont beaucoup plus efficaces, avec plus de 60% de part de marché.



Parmi les sites sociaux, Facebook est de loin le moyen préféré pour partager, avec plus de 78% d'utilisation. Mais les autres sites se rapprochent : Twitter reste à 5% des referrals, et MySpace, étonnamment, arrive second avec une part de 14.5%.




Et pourtant, Twitter est devenu l'outil le plus efficace pour les click-throughs. Twitter produit une incroyable moyenne de 19.04 clicks, là ou Facebook produit seulement 2.87 clicks.



C'est une excellente nouvelle pour Twitter qui mise beaucoup sur son offre " Promoted Tweets and Trends", des pubs au format d'un tweet que les sociétés achètent pour $100,000 par jour. Avec un taux de click-through si élevé, il n'est pas étonnant que le nouveau PDG de Twitter Dick Costolo se soit vanté hier que la société "avait cassé le code d'une nouvelle forme de publicité et nous pensons que nous avons un gros succès dans nos mains".

Idées à faire circuler : comment naissent les idées ou comment la découverte du café a permis au siècle des lumières d'exploser

TedTalks logo
Les vidéos de TED Talks sont toujours des perles rares d'intelligence qui offrent des perspectives incroyables sur des recherches, des pensées - et des initiatives - innovatrices qui font vraiment une différence dans le monde. C'est à des sites comme TED talks que je pense quand je me lance dans l'éloge du web pour faire partager l'information et mettre la connaissance à portée de tous.

Bref, allez y faire un tour : je n'aurai jamais imaginé que les plantes étaient si intelligentes ou que la recherche en bio-génétique était si avancée. Et il n'y a pas besoin d'être un prix Nobel pour apprécier les vidéos, ni d'ailleurs de parler anglais. Elles ont presque toutes des sous-titres en français.

Voici le dernier speech qui m'a fait tomber à la renverse et dont je rabats les oreilles à toute personne qui croise mon chemin ces jours ci : "D'où viennent les bonnes idées" de Steven Johnson.

En gros, c'est la richesse des réseaux sociaux (bien avant qu'ils ne soient en ligne) pour générer de nouvelles idées et nous faire progresser. C'est comment l'arrivée du café et du thé à Londres a permis aux gens de ne pas boire de l'alcool toute la journée et donc d'échanger des idées et de faire progresser la société.



Résumé : les gens attribuent souvent leurs idées à des 'révélations' individuelles. Mais Steven Johnson montre comment l'histoire raconte une autre version des choses. Il nous emmène dans une visite guidée fascinante qui commence avec les "réseaux liquides" des cafés de Londres en passant par la révélation de Darwin qui a mis longtemps à voir le jour progressivement, et va jusqu'au web à grande vitesse d'aujourd'hui.

Thursday, 17 June 2010

A humanitarian web 2.0 initiative supported by Google: MISSING - A global search engine for missing people after natural disasters



Object : One year after having won the call for proposal “Web innovant”, initiated by the French Secretariat of State to Digital Economy, the Red Helmets Foundation, in partnership with Bearstech and European Consulting Services, launches the ALPHA version of MISSING, the global search engine for missing people.

The Launching of MISSING, will be a new step in the field of search for missing people. This search engine is organized around a Web participative platform which optimize the coordination during the search of missing people. Developed in the six officials languages of the United Nations, MISSING gives the following functionality :

Developed in the six languages of the United Nations, MISSING offers the following functionality:

* Creation of a file dedicated to the missing person with all the information necessary to the search (photography, civil status, last known address of the missing person, distinguishing marks...)

* Search for a missing person thanks to the dedicated search engine

* Identification of victims thanks to the face book

* Possibility to leave testimonies, to post photos, videos, to geolocalise the victim, to aggregate feeds related to the disappearance...

* Aggregation of all information related to the disappearance and stemming from any social network in the world.

For Nicole Guedj, former Minister and actual President of the Red Helmets Foundation: “Humanitarian action has to be coordinated in order to facilitate the rescue of victims during the first and decisive hours after a natural catastrophe. This is why I am advocating for the creation of Red Helmets, who would work under the umbrella of the UN. Their role would be to organize and coordinate the intervention of all the rescue teams sent, in emergency, to the crisis spot. Missing will be a must-have for these Red Helmets but also for all ground actors who have the greatest difficulties to respond demands of families who have lost a relative.”

MISSING is supported by Google, which kindly offers its technical competences and its communication power to ensure that as much people as possible are informed of victims’ disappearances after a natural disaster. This first version of MISSING will be experimented and is already ready to be operated in case of natural disasters.

Source: www.casques-rouges.org

Sunday, 9 May 2010

Remember Augmented Reality 1.0 ?



If you think augmented reality is a recent fascination woven from the fabric of the camera phone age, think again — artists, photographers and casual creative pranksters have long been using camera tricks to hack urban landscape by layering additional fascination over the naked eye’s view of the city.

Souvenirs...

Visit Michael Hughes‘ wonderful Souvenirs collection. The British photographer travels the world and “replaces” some of its most iconic landmarks with their cheap touristy souvenir replicas — miniatures, snow globes, plates, postcards — by holding them in front of the camera at just the right angle.
The result is a playful take on tourism which, depending on how philosophically inclined you are, even exudes subtle commentary on the artificiality of souvenir collecting in the context of the actual experience and our often excessive propensity for sentimentality.

Looking into the past...



Have a look at Jason Powell’s Looking Into The Past project, inspired by Hughes’ Souvenirs. Powell prints out historical photographs from The Library of Congress digital archive and holds them up against the physical locations depicted in them, offering an absolutely fascinating glimpse of how urban landscape, dress and transportation have evolved over the past couple of centuries.


Source: Maria Popova at brainpickings.org

Friday, 7 May 2010

Robinhooding Subway, or how to make those doing well do good

The 100 Brands Project from Robin of Shoreditch on Vimeo.

Despite the recession, the global economy is a massive force of commerce, shuffling billions of dollars around its ecosystem of goods and services. By comparison, the nonprofit sector — and humanitarian aid in particular — is microscopic. So what if could take a fraction of that fat commmercial mega-budget and allocate it to underfunded good causes? That’s what Robin of Shoreditch, a group of anonymous creative outlaws, is doing with The 100 Brands Project — an effort to take from the rich and give to the poor, or in this case, to the people of Haiti.

It’s a simple, brilliant idea — the team, composed of various ad industry creatives, do what they do best: They offer each company on BrandZ’s 100 brands index a creative idea that could help their business and, in return, they ask for 1/10000000 — that’s one ten-millionth — of the value of that brand as a fee, 100% of which goes to relief efforts in Haiti.